Action, Ero'/Porn', Fantastique, Policier

The Beauty’s Evil Roses (1992)

La Secte des Lesbiennes empoisonnées

Avant-propos du tenancier : le titre de cet avis est plus une accroche qu’autre chose. Je ne suis pas bien sûr que les femmes que j’ai vues se soient adonnées à des actes sexuels purement lesbiens. Sachant ! Qu’elles étaient possédées. Eh ! Que derrière tout ça, il y a bien un homme, au-delà de son accoutrement « bizarre » qualifié ainsi :

« une espèce de travelo a paillette tendance Hard rock FM »

Guesar

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Ero'/Porn'

Devil Girl 18 (1993)

Possédé(e)s

Vous voulez du sexe à foison, des fantômes, de la sorcellerie, des scènes gores, des prêtres taoïstes et encore tout plein de chose ? Alors ne manquez pas Devil Girl 18 (1993), un Category 3 signé par Lam Wah-Chuen qui vous entraîne dans une production outrageusement kitchissime. Surtout connu sous son titre original : Xing Qi Gong Zhi Tan Bi, il est également connu et traduit littéralement sous les titres anglais Mysteries of the Sexual Breathing Technique et To Explore the Mysteries of Having Sex with the Chinese Breathing Technique. Vous l’aurez remarqué, c’est tout un programme. Si je vous dis qu’en plus vous trouverez au casting, au-delà des jeunes femmes dénudées Yukari Oshima (en médecin qui guérit des esprits), Mark Cheng Ho-Nam ou encore Wu Fung (qui n’ont pas réellement de rôle défini) ? Précisons qu’ils ne sont présents qu’au détour de deux voire trois scènes (allez, peut-être quatre). Autant dire des invités de « luxe » qui n’apportent pas grand-chose. Si ce n’est remplir un film que l’on qualifiera de long-métrage, sans celles-ci et les scènes de sexe nous aurions eu droit à un court bricolé à la hâte.

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Fantastique

Excuse Me, please ! (1989)

Vengeance d’outre-tombe

Petite production, Excuse Me, please ! (1989) de James Yi Lui (qui se donne par ailleurs un rôle) mélange les genres et sous-genres mais surtout les cassures de ton. On passe dès lors d’une comédie fantastique à un drame quasi-horrifique pour terminer sur une note plus légère mais tout de même ensanglanté. L’univers du film est des plus singuliers puisque nous partageons le quotidien de personnes qui vivent du commerce de la mort. D’un côté, des employés de cimetière qui lavent notamment des ossements (hum, intéressant). De l’autre, des prestataires mortuaires qui ont la particularité d’avoir des prêteurs sur gages aux basques. Ces derniers pour éponger leurs dettes vont avoir la mauvaise idée d’enlever une jeune employée (Lee Ching) du cimetière pour la prostituer. Elle a notamment la particularité de communiquer avec les esprits. Au moment de l’enlèvement, nos prestataires en profitent pour la violer. Séquestrée, elle parviendra à s’évader pour préparer sa vengeance…

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