Action, Aventure

Il était une fois en Chine (1991)

Once

Personnage mythique apparu dans des dizaines de productions cinématographiques, Wong Fei-Hung était à nouveau mise en lumière dans Il était une fois en Chine (1991). Oui mais cette fois-ci sous la direction de Tsui Hark et sa Film Workshop.

Au 19ème siècle, Wong Fei-Hung (Jet Li Lian-Jie), un médecin se voit contraint d’intervenir dans un conflit qui oppose chinois et occidentaux. Ces derniers réalisant notamment une mainmise de plus en plus accrue sur les territoires orientaux.

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Action, Comédie, Policier

Fight Back to School (1991)

School on comedy

Comédie non-sensique signé par Gordon Chan Ka-Seung (co-scénariste avec Barry Wong Ping-Yiu qui campe également l’un des seconds rôles), Fight Back to School (1991) narre l’histoire d’un flic infiltré.

Star Chow (Stephen Chow Sing-Chi) est un policier des forces spéciales de la police HK. Véritable casse-cou, il est à deux doigts de se faire virer. Au même moment, il est diligenté par son supérieur (Barry Wong) pour une mission. Ce dernier s’est fait voler son arme de service lors d’une visite estudiantine. Star Chow est donc envoyé en mission d’infiltration dans un établissement scolaire. Il se fait alors passer pour un élève…

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Ero'/Porn', Fantastique

Water Margin : Heroes’ Sex Stories (1999)

Au bord de l’eau

Water Margin : Heroes’ Sex Stories (1999)… ce titre. Forcément, il interpelle. Parce qu’au vu des trois récits érotiques en costume qui se succèdent, on peut aisément supposer qu’il fait référence au roman d’aventure Au bord de l’eau, écrits attribués à Shi Nai’an, ceux qui relatent les exploits des cent huit bandits. Et qu’en gros, on aurait ici une version softcore des aventures de certains personnages. Du genre, aventure non officielle ou comment Lam Yat-Miu, la réalisateur crée un univers étendu aux fameux écrits d’origines.

Water Margin : Heroes’ Sex Stories se divise donc en trois sketches, tous mis en scène par le même bonhomme : Lam Yat-Miu. Lorsqu’on check la fiche correspondante au gus, on est frappé de voir qu’il aurait mis en scène ce long-métrage puis il serait revenu en 2003 pour tenir à nouveau la caméra tout en tenant des rôles divers et variés sur deux productions puis plus rien. Et je ne sais pas vous mais j’ai l’impression qu’il y a l’anguille sous roche. Serait-ce dû aux deux pseudos qu’on lui attribue ? Sans doute. Sans doute aussi que c’est un prête nom. Sans doute encore que je me fais des films comme celui qui nous intéresse ici.

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Action, Policier

The Real Me (1991)

Memento

Petit actioner policier, The Real Me (1991) est le fait de Chow Wah-Yu.

Master Hwa (Hsu Hsia) est un homme d’affaire mais aussi un ponte du trafic de drogue. Une nuit, il se fait dérober une disquette contenant des informations importantes sur ses activités illégales. C’est Fok Chiu (Kong Wa) qui est à l’origine de cette action. Alors que Chiu prend la fuite, il est rattrapé par deux hommes de mains de Hwa. S’ensuit alors un accident. Chiu se réveille à l’hôpital, amnésique. Il apprend qu’il est un flic infiltré. Mais très vite, il doit faire avec les hommes de Hwa, bien décidés à mettre la main sur la disquette ainsi que Garry Chan (Chin Siu-Ho), un flic d’Interpol qui veut le faire tomber pour une transaction de drogue faite à New York.

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Action, Drame

Danger of the Wedding (1993)

Sang larmes pistolet ombre / Mariage à pistolet de sang déchire tirs ombre (google trad’ qui traduit et résume assez bien l’incohérence de l’histoire)

Ouah. Que celui ou celle qui a tout compris à Danger of the Wedding (1993) n’hésite pas à s’arrêter en caisse ou m’alpaguer dans les rayons pour m’affranchir sur certains points. Mao Chiang-Pang, le scénariste-réalisateur nous pond-là une pépite bien foutraque au récit confus. Cette production fauchée qui semble taïwanaise est un film d’action dramatique au montage hasardeux. Dur alors d’en faire un résumé précis voire un pitch clair et net.

Au début (seulement), nous assistons à un concours de kung-fu qui voit deux clans s’affronter pour récupérer une épée (Dragon sword qu’elle s’appelle) haut-perchée. Wu Ma (qu’on ne verra plus par la suite) s’affiche-là comme l’arbitre du match où deux types s’affrontent (et dont l’un cache son visage avec un chapeau). Et puis, arrive la fin, il y a des flash-backs et puis de Chine, on se retrouve à Hong Kong (beaucoup de plans de HK pour montrer que l’action se passe bien à HK).

Tan-Lon (?) quitte donc sa Chine continentale (et sa copine, Lee Yuet-Sin) pour Hong Kong. Là, il aide Hai (Hak Lung) qui est en train de se battre avec trois sales types. Tan-Lon et Hai deviennent des amis à la vie à la mort. Hai présente sa sœur (Yeung Man-Huen) à son nouveau frère d’arme. Cette dernière, également experte en kung-fu semble tomber amoureuse de Tan-Lon. D’ailleurs, il semble que ce dernier ne soit pas non plus insensible au charme de la sœur de son nouveau pote. Là-dessus, pas mal de scènes de cabaret et de membres de gangs pas content (Chung Fat, d’un côté et Tai Bo, de l’autre), sans oublier une espèce de détective (Peter Chan Lung) qui recherche un dénommé « Buffalo ». Bref. On ne comprend pas tout.

Les scènes de cabaret, c’est parce que Hai est amoureux de la chanteuse (? Plutôt mignonne et inconnue) et n’ose lui offrir des fleurs. Tan-Lon se fera l’entremetteur et un rapprochement se réalisera, baigné dans de courtes scènes de combats. Sans ça, on ne sait pas très bien de quelle façon Hai et Tan-Lon gagnent leur vie mais apparemment ils font des mécontents dans les rangs mafieux (une arnaque ?). L’une des branches malfrate reçoit, entre autre ses ordres d’une jeune femme énigmatique (? Jolie et inconnue, même si j’ai le sentiment de l’avoir déjà vue dans une autre production, j’ai cherché, pas trouvé). Elle porte admirablement le costume masculin deux pièces avec cravate. En gros l’histoire, c’est plus ou moins celle-ci. Sinon, il y a bien Karel Wong Chi-Yeung qui y traine mais j’ai du mal à comprendre à quoi il sert.

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